• Edson Arantes do Nascimento1940 – 29 décembre 2022
Avant le Mondial 1958 en Suède avec son éclosion formidable, divers restes et préjugés raciaux voire racistes étaient mis en avant pour expliquer les échecs de 1950 et 1954, en chargeant certains joueurs….Noirs.
• Morceaux choisis tirés du journal français l’Équipe du vendredi 30 décembre 2022 :
En 1950, l’équipe brésilienne était défaite et perdait le tournoi chez elle, ainsi… « Les coupables sont vite trouvés. Ils sont tous noirs : le gardien Barbosa, les défenseurs Bigode et Juvenal. Ces deux derniers ne joueront plus un seul match pour le Brésil… »
« En 1954, les joueurs de couleur seront de nouveau accusés de perdre leurs nerfs sous la pression après l’élimination consommée face à la Hongrie (2-4). Quatre ans plus tard, un psychologue, João Carvalhaes, est chargé d’examiner les joueurs à la préparation de la coupe du monde en Suède. Il s’oppose à la sélection du Noir Pelé, trop jeune pour supporter la pression d’une coupe du monde,…. »
« En devenant un phénomène mondial, Pelé adresse une claque magistrale aux préjugés raciaux qui gangrènent son pays : oui, le dieu du football est noir. »
Ainsi à 17 ans seulement lors de cette coupe du monde, avec son génie de crack , il bouscula un monde d’abjects clichés anti-Noirs.
• Nom complet : El-haj Mohamed ibn el-haj Aboubekr ibn mohamed khalil Tandjigora connu également sous le teknonyme (kunya) Abu Elyas
Il est ressortissant du village sooninké de Kounghany au Sénégal, d’une famille des lettrés religieux et prédicateurs originaire du Mali. Une famille issue de l’ensemble clanique des Cissé. Né en 1953, le professeur communément appelé cheikh Madiakho, est une voix intellectuelle, spirituelle et sociale qui a une certaine aura auprès des communautés sooninkés à travers le monde. Un lettré traducteur, prêcheur consciencieux et penseur très dynamique en réflexions sur l’héritage intellectuel et savant de la voie classique sunnite. Ouvert et témoin de son temps, on peut l’encarter également comme fin éducateur, philosophe, psychologue et observateur attentionné des relations internationales.
Edson Arantes do Nascimento, dit Pelé, est mort ce jeudi à 82 ans, à l’hôpital Albert-Einstein de Sao Paulo. Trois fois champion du monde, le Brésilien restera à jamais une légende du football, et du sport en général.
Ces allers-retours entre sa résidence de Guaruja et l’hôpital Albert-Einstein de Sao Paulo laissaient présager du pire depuis quelque temps. L’inexorable est arrivé ce jeudi après-midi : Pelé est mort, terrassé par le cancer à l’âge de 82 ans. L’information a été confirmée à l’agence AP par son agent Joe Fraga. Et le nombre de personnes en deuil se compte en centaine de millions.
Longtemps considéré comme le meilleur footballeur du monde, il a depuis été contesté par Diego Maradona et Lionel Messi, mais il y aura toujours débat, et Pelé est sans aucun doute parti avec ses certitudes. Le triple champion du monde (1958, 1962 et 1970) a toujours veillé à ce qu’on écrive sa légende, et quiconque a revu des images a vite compris que ce n’était pas qu’une question statistique. Alors peu importe qu’il ait marqué 800, 1 000 ou 1 200 buts selon qu’on compte les amicaux, les matches de jeunes ou même les entraînements, Pelé a surtout marqué l’histoire du football, et puisque c’est le plus populaire de tous les jeux du monde, du sport dans son ensemble.
• Quand « Dico » est devenu « Pelé » Edson Arentes do Nascimento est né à Tres Coraçoes, une petite ville située entre Belo Horizonte, Sao Paulo et Rio de Janeiro, le 21 octobre 1940 (selon les registres de l’état civil) ou le 23 octobre 1940 (selon la paroisse). Ville qu’il a quittée avec sa famille alors qu’il était âgé de deux ans pour s’installer à Bauru, dans l’État de Sao Paulo. Fils d’un footballeur amateur, Dondinho, il fut d’abord surnommé Dico par sa famille : puis il est devenu « Pelé » quand son père a constaté que le gamin n’arrivait pas à prononcer le nom de Bilé, le gardien de Vasco de Gama, qu’il appelait « Pilé ».
• Le héros de la Coupe du monde 1958 Après avoir fréquenté plusieurs clubs dans sa jeunesse (Sete de Setembro, Canto do Rio, São Paulinho, Amériquinha, Bauru AC), il rejoignit Santos, en 1956, et fut titulaire dès sa deuxième saison. L’année 1957 marqua aussi son arrivée en sélection mais le surdoué se révéla à la planète foot en remportant la Coupe du monde en 1958. Blessé, il fut forfait pour les deux premiers matches contre l’Autriche (3-0) et l’Angleterre (0-0), mais joua les quatre suivants, inscrivant le but de la victoire contre le pays de Galles en quarts (1-0), un triplé contre la France en demies (5-2) et un doublé contre la Suède en finale (5-2). Il fut évidemment accueilli en héros à son retour au Brésil. Quatre ans plus tard, il remportait une nouvelle Coupe du monde, mais presque sans jouer : blessé dès le deuxième match, c’est en spectateur qu’il assista au triomphe de ses compatriotes.
• Un calvaire au Mondial 1966, la « Dream Team » en 1970 Sa troisième Coupe du monde, en 1966, aurait pu être la dernière. Agressé par le Bulgare Zhechev dès le premier match de la phase de groupes, il n’a pas disputé le suivant et se fit sévèrement tacler par le Portugais Joao Morais lors du troisième, celui de l’élimination. Le « Roi » quitta le Mondial blessé et meurtri. Il prit du recul avec la sélection pour se concentrer sur sa carrière avec Santos. Revenu en sélection depuis 1968, Pelé participa à sa quatrième et dernière Coupe du monde, en 1970, au Mexique. L’année de la « Dream Team ». Pour la première fois, le football était retransmis en direct et en couleurs, d’un continent à l’autre, via le satellite. L’icône participa, cette fois, à tous les matches, pour le bilan suivant : quatre buts et six passes décisives, notamment celle à destination de Carlos Alberto pour le quatrième but en finale contre l’Italie (4-1).
• L’attaquant parfait L’Équipe l’a d’ailleurs sacré athlète du siècle en 1981, alors que le Brésilien s’était retiré quatre ans plus tôt à peine après une pige de trois saisons aux États-Unis, sous les couleurs du New York Cosmos, histoire de promouvoir le soccer, de remporter un dernier titre et de marquer quelques dizaines de buts supplémentaires. Mais c’est à Santos, entre 1957 et 1974, que Pelé a marché sur l’eau (six titres de champion et deux Libertadores, entre autres).
Une fidélité au pays anachronique avec nos yeux du XXIe siècle, une époque où, si tout ne se passe pas en Europe, tous les grands y passent un jour. Cela a pu, a posteriori, altérer le statut du roi. Pourtant, si Pelé est une légende, c’est qu’il a réuni le football d’avant et celui d’après, concilié la spontanéité et la performance. Gracieux comme peu, puissant comme personne, il fut l’attaquant parfait, et aurait probablement été le seul à pouvoir débarquer dans le football moderne sans avoir besoin de mise à jour. Ce n’est qu’une fiction, et la réalité est aujourd’hui moins joyeuse. Pelé est mort, mais il y a longtemps qu’il est éternel.
• Ministre des sports de 1995 à 1998 Après la fin de sa carrière, Pelé a mis sa notoriété au service de certaines causes. Il devint ambassadeur de l’ONU en 1977, mais, dix ans plus tôt, alors qu’il était encore joueur, la guerre entre le Nigéria et le Biafra s’était arrêtée pendant deux jours pour que la population assiste à un match de bienfaisance organisé à Lagos par le Brésilien. Ambassadeur à l’UNICEF pour l’éducation, il a participé dans son pays à des campagnes de prévention contre les drogues. Entre 1995 et 1998, il a été ministre des Sports. Une loi porte son nom, adaptation de l’arrêt Bosman au Brésil.
● Livre 📖 : Note de lecture sur l’ouvrage du journaliste Serge Bile « Quand les Noirs avaient des esclaves Blancs »
Un livre très informatif et facile à lire. Le titre attire notre attention d’emblée, surtout pour ceux qui peuvent avoir un lien d’engagement abolitionniste ou d’études sur la problématique des esclavages. L’auteur nous fait voyager expressément à travers un périple historique visitant plusieurs empires et/ou royaumes Ouest-africains (Wagadu-Ghana, Sosso, manding, Mali, Songhay…) sur plusieurs siècles.
• Dinga, le sooninké Doumbé !
On y apprend l’arrivée du puissant guerrier appelé Dinga (le patriarche légendaire des sooninkés) et ses troupes pour fonder l’empire du Ghana. L’auteur cite à de nombreuses fois quelques références comme Abderrahman Sadi, historien soudanais du 16ème siècle natif de Toumbouctou, Mahmoud Kati ou Ibn Khaldun.
Impérialisme localisé, domination, contacts conflictuels, diplomatiques ou commerciaux avec l’ensemble « Blanc » berbère, arabo-berbère ou arabo-musulman, cet ouvrage permet un saut instructif dans le passé de notre zone Saharo-sahelienne.
Le mot sooninké Doumbé voulant dire « Pur », improprement interprété comme signifiant « Blanc » a failli corrompre les données historiques. On allait admettre que les 44 premiers rois ayant régné sur le royaume de Wagadu seraient de race blanche. La ferveur guerrière des Almoravides finit par désorganiser le pays des Kaya Magas dont leur capitale Koumbi-Saleh chuta en 1076.
Cités riches et pleines d’érudition (Koumbi-Saleh, Aoudaghost, Djenné, Niani, Gao, Toumbouctou…) et personnages emblématiques savants ou extravagants (Soumahoro Kanté, Soundiata Keita, Kankan Moussa, Ali Ber dit Sonni Ali, Mohamed Aboubekr connu Askia Mohamed, Mahmoud Bagayogo, Ahmed Baba…), un monde mystérieux, mystique et complexe où l’islam et paganisme se côtoyant ici et là. Beaucoup d’échanges divers venant de loin notamment la présence remarquée d’esclaves blanches (concubines), de produits « manufacturés » et également d’autres mœurs.
Finalement ce monde s’écroula laissant place à l’arrivée hégémonique d’un mélange d’Andalou-maghrébo-turcs sur ces espaces jadis sous l’âge d’or d’illustres rois et empereurs soudanais.
À noter l’importance de la fonction de Cadi dans ces cités islamisées, il arriva que des lettrés refusèrent de l’occuper. Pieux et sensibles aux éventuelles conséquences dans l’Au-delà, ils craignaient le mal-agir sous leurs responsabilités.
Sur le phénomène de l’esclavage, on apprend qu’aux « débuts de l’empire du Mali, il était interdit de vendre des captifs aux marchands arabes. Seul l’esclavage domestique était autorisé » (comprendre l’esclavage intra-muros). Et la fameuse charte de Kouroukan Fouga (44 articles) promulguée sous Soundiata Keita n’abolit nullement l’esclavage. Dans son article 20, il est dit « Ne maltraitez pas les esclaves, accordez-leur un jour de repos par semaine… » .
Je suis tenté de conclure que dans l’ensemble Blanc arabo-berbère andalou et turco-asiatique, le phénomène était fonctionnel par rapport aux réalités du moment. Ainsi avec certaines mutations progressives, il est dissous en interne et prend une coloration raciale et même raciste vers l’externe en visant le monde Noir. Dans l’ensemble Noir au sein de ces zones saheliennes, le fonctionnel était lié au statut assigné par perpétuation héréditaire. Aujourd’hui dans les sociétés héritières (negro-africaines) de ces empires et cités, l’esclave statutaire n’est pas un Blanc assigné par une caste de descendants d’esclaves d’antan, mais un autre Noir dans le même groupe sociolinguistique. Ainsi dire qu’aujourd’hui l’engagement anti-esclavagiste dans le sahel doit être une grande cause afro et sahelienne pour restaurer la dignité de l’Homme Noir africain.
Un nom de famille qui a donné 2 immenses personnalités politiques courant 20ème siècle aux USA.
• À gauche Théodore et à droite Franklin
1-Théodore Roosevelt (1858 – 1919), 26ème président américain. Génie politique et homme d’état téméraire, il était un influent républicain qui dirigea l’administration américaine durant un peu plus de 7 ans.
Après son départ du pouvoir, il a failli revenir aux affaires mais rate son come-back. Sans aucune responsabilité politique, il était interventionniste lors de la première guerre mondiale. On peut dire une voix bruyante parmi les faucons bellicistes à l’époque. À remarquer, il a été d’une cohérence implacable avec ses positions défendues pour l’entrée en guerre contre l’Allemagne et ses alliés lors de la grande guerre. Ainsi ses 4 fils furent engagés sur les champs de bataille sur le continent européen. Parmi eux, le plus jeune, un aviateur combattant laissa sa vie. Un autre grièvement blessé.
Une époque très lointaine de nôtre, aujourd’hui nos dirigeants politiques et militaires n’enverraient même pas un neveu ou une nièce comme ambulancier ou aide-soignante sur le terrain de guerres qu’ils peuvent provoquer ici et là.
Tout dirigeant n’est pas un Homme d’Etat.
2- Franklin Roosevelt (1882 – 1945), 32ème président US.
Il est cousin du premier au sein du clan familial Roosevelt. Lui, il était du parti démocrate et avait investi l’arène politique de nombreuses années en s’inspirant de la réputation du parcours de son cousin Théodore. Franklin Roosevelt a régné sur les destinées des États-Unis durant 12 ans. Grand acteur de la 2ème guerre mondiale avec les alliés européens contre l’Allemagne Nazie.
Atteint subitement de la poliomyélite, son avenir politique allait être enterrée si ce n’était pas sa détermination courageuse à se sortir d’une paralysie affreuse. Comme on dit souvent ; tout se passe dans la tête. Sa maladie n’a pas été une fatalité qu’il allait subir, non. Il en avait faite une « ressource » pour casser vaillamment les clichés et préjugés sur l’handicap. C’est lui qui allait contenir peu à peu les graves soubresauts sociaux et économiques de la grande crise de 1929. Sa vision pour mettre l’économie à l’endroit est portée par le New Deal (Nouvelle donne). Il a été élu à 4 reprises et meurt au début de son quatrième mandat présidentiel, le 12 avril 1945.
Ils étaient originaires des Pays-Bas par leurs ancêtres.
✓Il s’appelle Mody Bathily , l’auteur de l’ouvrage Le Grand Dictionnaire bilingue français/soninké et soninké/français. Ce vendredi 4 mars 2022, l’annonce de son décès est publiée sur les réseaux sociaux. Paix à son âme. Mes sincères condoléances à sa famille, à ses proches et à l’ensemble de la communauté soninké à travers le monde. Son ouvrage publié a été largement diffusé au grand public soninké en janvier 2017 à Paris. Dans une note de présentation du livre, il reconnaît avoir écrit les premiers mots de ce travail monumental en 1976. Une pointure intellectuelle visionnaire nous quitte mais son ouvrage présent dans plusieurs foyers soninkés pas seulement, fera éternelle sa mémoire à jamais.
La Société Mauritanienne de services et de Tourisme, est une filiale de la Société Nationale Industrielle et Minière (SNIM). Elle est propriétaire de 2 somptueux hôtels «Cansado» à Nouadhibou» et «Tazadit» à Zouérat. – L’hôtel Cansado est située à 5 km de la ville de Noudhibou et dispose de 3 suites avec tout le confort, 24 chambres avec lits king size, 12 chambres à 2 lits séparés, 1 restaurant de 45 couverts, 1 restaurant V.I.P avec vue sur le jardin et la mer, 1 salle de réunion et plusieurs salles, 1 parking, 1 navette aéroport,… (http://www.somasertsa.com/hotel_osian_ndb.html) – L’hôtel «Tazadit» est situé au centre de la ville de Zouérat et dispose de 8 bungalows, 4 studios, 28 chambres avec lits king size, 14 chambres à 2 lits séparés, 1 restaurant à 60 couverts, 1 restaurant pour V.I.P, 1 bar, 1 parking, 1 navette aéroport… (http://www.somasertsa.com/hotel_osian_zouerate.html)
Pour rappel, Yacoub Salem Vall a fait toute sa carrière professionnelle à la Snim, en occupant des postes importants en tant que cadre des services techniques et administratifs à Zouérat et à Nouadhibou. Patriote militant de longues dates, il a été maire de la ville de Zouératt de décembre 2006 à janvier 2014 avec des réalisations communales innovantes sans précédent dans tous les secteurs sociaux et le développement harmonieux de cette contrée du Tiris Zemmour. La nomination de Yacoub Salem Vall à ce poste datée du 16/12/2021, constitue, à n’en point douter, non seulement une marque de confiance placée en lui, mais beaucoup plus un message, celui d’un renouveau, d’une innovation et d’un dynamisme, prôné par Monsieur Mohamed Fall Telmidy, Administrateur Directeur Général de la société nationale industrielle de Mauritanie (SNIM), qui promeut l’expérience et l’expertise des employés et des cadres de notre entreprise nationale fleuron de l’industrie et premier employeur privé en Mauritanie. Je suis certain qu’en cette heureuse circonstance, Yacoub Salem Vall dirigeant de la Somasert propriétaire de l’hôtel «Cansado» à Noudhibou et de l’hôtel «Tazadit» à Zouérat, ses employés et ses partenaires, peuvent rassurer, M. l’Administrateur Directeur Général de la SNIM de leur constante disponibilité et leur intense engagement pour relever tous les défis. Certain que Yacoub Salem Vall, le nouveau Directeur Général de la Somasert s’engage à œuvrer aux côtés de l’Administrateur Directeur Général pour la réussite des nobles missions de développement du secteur du voyage et du tourisme en vue de permettre à la société SNIM de poursuivre, sans désemparer, les grandes réformes engagées et d’initier celles à engager dans le cadre de l’amélioration du climat des affaires; gage de l’attractivité des investissements directs locaux et étrangers et ce, pour un développement réel et durable de notre cher pays, la République Islamique de Mauritanie. Puisse l’énergie de notre foi à l’avenir accorder la sagesse et l’intelligence nécessaires afin de mener à bien l’action pour l’émergence de l’économie, la paix et le développement durable de notre pays. Je souhaite un bon vent à Yacoub Salem Vall dans sa nouvelle mission de manager dans le secteur du voyage et du tourisme, qui est en plein expansion en Mauritanie.
L’ex enfant prodige du football camerounais et africain, Mr SamuelEto’o gagne avec brio l’élection de la présidence de la Fecafoot. La grande star buteur passé par quelques clubs cadors du football européen (Real Madrid, FC Barcelone, l’Inter Milan et Chelsea…), devient le 17 ème président de l’institution faîtière du foot de son pays.
Une personnalité forte de 40 ans, aujourd’hui suivie par près de 14 millions d’abonnés sur sa page officielle Facebook. Renard de surface, tonique physiquement et doté d’une grande aisance technique avec le ballon rond, il formait avec P. MBoma un duo irrésistible pour les défenses adverses aux débuts des années 2000. Vainqueur des CAN 2000 et 2002 et champion olympique aux JO 2000 à Sidney en Australie.
–Lire ci-dessous sa publication FB sur son élection (11/12/2021) :
Le jeune journaliste et chercheur Cheikh El Hacen El Bambari est décédé dimanche dans un accident de la route sur l’axe Nouakchott Rosso.
Le défunt, 28 ans, travaillait au sein du bureau de presse de la présidence de la république, créé il y a quelques mois, ayant été l’un des premiers journalistes à le rejoindre.
De multiples hommages lui ont été rendus sur les réseaux sociaux dès l’annonce de son décès, lui qui a été l’un des plus brillants jeunes écrivains mauritaniens et actif dans le domaine délibératif mauritanien.
Le défunt s’est très tôt distingué sur les plateformes de blogs, a écrit des dizaines d’articles dans le domaine de la philosophie politique qui ont été publiés sur les réseaux sociaux.
Le défunt était sortant de la section de philosophie à la faculté des lettres et des sciences humaines de l’université de Nouakchott et a été professeur de l’enseignement secondaire.
A cette triste circonstance Sahara Medias adresse ses sincères condoléances à la famille du défunt et à toute la famille de la presse mauritanienne.
L’Adam Clayton Jr. Hall au cœur de Harlem, New York, a accueilli un symposium pour la présentation du livre de la journaliste Equatorienne Tania Tinoco dans sa version anglaise, le 4 décembre 2021 à midi.
Des militants américains des droits civiques soutenant la lutte du leader de l’initiative pour la résurgence du mouvement abolitionniste Mauritanien (IRA), ont choisi la symbolique d’un bâtiment official et dressé en plein guèto noir de New-York, devenu Harlem et situé au carrefour de deux rues connues pour porter les noms des deux leaders historiques de la lutte afro-américaine, Martin Luther King et Malcom X (Malik Chabaz).
Harlem, aussi le berceau de la lutte afro-américaine et creuset des sacrifices pour les droits civiques.
Ce présentation de la version anglaise du Pacte de la Renaissance, a été suivie et commentée par de nombreux militants américains et soutiens de la lutte du leader du mouvement IRA, et parlementaire mauritanien Biram Dah Abeid.
Après l’intervention du président et vice-président de la Fondation basée à Chicago, Abolition Institute, Sean Tenner et Bakary Tandia, la liste des intervenants comportait, le Maire RoryOpkins et la Sénatrice Cordell Claire en plus de l’imam Souleiman Konaté et l’opposant panafricaniste, historique tchadien Souleiman Guenguene.
Les participants ont célébré la lutte pacifique inspirante illustrée par le mouvement IRA et son leader, et ont appelé chacun à élargir le cercle de soutien au projet universaliste et humanitaire d’IRA-Mauritanie qui appelle à la modernisation de la société Mauritanienne.
Tania Tinoco a salué le choix noble adopté par le candidat, Biram DahAbeid, après la controverse de la declaration des résultats du scrutin électoral présidentiel en Mauritanie en 2019 et son rejet catégorique de la violence.
Biram Dah Abeid a pris la parole à la fin et a exprimé sa gratitude à Dieu et à ses camarades américains qui lui ont donné l’occasion de s’exprimer dans un bâtiment symbolique de la lutte pour les droits civiques comme Adam Clayton Pool Jr. Building, et un quartier qui symbolise l’histoire et le présent de la lutte contre l’oppression et l’injustice qui est la culture de Harlem. Le président de IRA a déclaré que son combat avec ses compagnons, est sur le chemin de l’humanisme et de la dévotion aux humains, des prophètes de Dieu, Moise, Jésus et Mohamed que les prières et la paix de Dieu soient sur eux; BDA dira être fier que les Nations Unies aient placé une photo de lui à côté de Welles de Nelson Mandela, Martin Luther King, Jimmy Carter et d’autres en reconnaissance pour son engagement humble et désintéressé au profit de l’Humanité.
Biram Dah Abeid a déclaré que tout pays du monde dans lequel l’humanité des êtres humains est contestée par ceux qui dominent en instituant et perpétuant l’esclavage, comme en Mauritanie et dans d’autres pays du Sahel-Sahara, ceci nécessiterait une focalisation et mobilisation de toutes les consciences et forces morales vives à travers le monde.
Dans son discours, Biram Dah Abeid à dédiée la version anglaise du livre “Biram Dah Abeid ou le Pacte Renaissance” pour les jeunes des villes de Bababe et de Rkiz, en guise de solidarité et rejet de la repression qu’ont subit les jeunes de ces deux localités.
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