L’élection présidentielle américaine attendue en fin d’année, donnera un(e) président(e) élu(e) qui ne relèvera pas de l’ordinaire dans notre monde. Si ça sera un Trump, ce monsieur à la personnalité imprévisible qui a su « trumper » ou tromper le monde républicain aux primaires , qui gagnera, on craindra un Bushisme amateur et populiste qui pourrait virer dans des aventures belliqueuses très hasardeuses à l’international. L’ex magna de l’audiovisuel, est connu comme manipulateur et adepte des joutes verbales du sensationnel. Une fois élu, s’il reste fidèle à sa « trumpery » ou sa tromperie qui lui a permis d’étouffer tous les cadors potentiellement attendus du côté républicain lors des primaires, il aura intérêt à se mettre sous tutelle en sous main, pour éviter une éventuelle destitution au cours de son mandat. D’ici là, le chemin sera long pour « trumper » et tromper une majorité de l’électorat américain et rafler la mise devant Madame Clinton. Si la « Trumpery » ou la tromperie sera dévoilée et contenue à temps, on aura un deuxième Clinton à la Maison Blanche à Washington. Ainsi la parenthèse Bush-Clinton de l’histoire politique américaine réapparaîtra après la coupure OBAMA. Ainsi la séquence Bush père, Mr Clinton, Bush fils, (OBAMA) , Madame Clinton prendra le relais aux destinées de la première puissance mondiale.
Ah oui…une Dame à la présidence américaine est plus que jamais plausible aujourd’hui. Si un Clinton II au féminin arrive au pouvoir avec Hillary, ce couple très politique rentrera davantage dans les annales de l’histoire politique américaine. Hillary Clinton présidente entourée d’un cabinet classique dans le bureau ovale, fera une présidence classique suivant les lignes directrices de la politique américaine à l’international. L’Amérique fera de l’américain, veiller sur ses intérêts économiques liées à un certain ordre géopolitique mondial à maintenir en état depuis 1945. Pour le reste, dans les premières heures, le monde rêveur sera envahi par une Hillarymania au nom d’un féminisme désuet politiquement dans un sens la concernant, comme l’avait été la Obamamania en 2008 au nom du blackisme. À vrai dire en la matière dans certaines hautes sphères politiques et économiques, la référence pigmentaire ou sexiste importe peu, car la classe sociale étanche et bien codifiée gomme certains traits d’appartenance physiques au profit d’autres qui nous dépassent, NOUS les petites gens. Nous qui nous les représentons dans nos aspirations puériles et innocentes par différentes positions sur TOUT ce qui se fait et se défait dans notre Monde sans Nous finalement.
K.S